La Grèce est un pays merveilleux où s’allient une culture riche, un patrimoine archéologique exceptionnel, une cuisine excitante et des paysages à couper le souffle entre mer et montagnes. La Grèce à vélo se mérite, s’expérimente et pousse à bout parfois. Ce n’est pas pour autant que nous vous déconseillons de tenter de la vivre, bien au contraire.
Les plus beaux paysages se méritent et l’on peut dire que la Grèce est belle ! Nous avons passé deux mois à explorer le pays. Malgré la durée de ce périple, nous avons pourtant l’impression de l’avoir à peine effleuré ! Il y a tant à découvrir, tant à voir, tant à apprécier.
Il y a, en théorie, 3 EuroVelo routes en Grèce.
- L’EuroVelo 8, qui longe la côte adriatique avant de partir vers Athènes (parcours que nous avons emprunté)
- L’EuroVelo 11, qui passe dans les terres et non loin des Météores
- L’EuroVelo 13 qui passe au nord-est du pays à travers les montagnes.
Pour l’instant, aucun des 3 itinéraires n’est réalisé. Certaines parties des lignes théoriques (trouvées sur Komoot) sont même complètement impraticables et fermées. Pour découvrir la Grèce à vélo, il vaut donc mieux préparer son itinéraire soi-même.
Par ailleurs, les pistes cyclables sont très rares dans le pays et, pour les rares que l’on rencontre, il s’agit généralement d’un parking pour motorisés. Elles sont impraticables au final.
Les plus beaux itinéraires vélo de Grèce
Lorsque nous avons posé la question aux membres de notre communauté, plusieurs suggestions d’itinéraires sont revenues. Nous les avons donc testés et quasiment tous validés.
1. Les îles ioniennes
Petits paradis aux 50 nuances de bleu, les îles ioniennes se trouvent à l’ouest de la Grèce. Les paysages de ces îles montagneuses offrent constamment des points de vue à couper le souffle, des petits ports de pêche typiques et des plages superbes. À vélo, on y rencontre beaucoup de chèvres, mais aussi des tortues de mer. Eldorado pour Vttistes, les chemins cassés et sportifs sont nombreux sur ces îles. C’est également un plaisir à parcourir pour les coureurs avec des cols exigeants offrant des panoramas exceptionnels.
2. Le Péloponnèse
Si vous cherchez les plus belles plages de Grèce sur les moteurs de recherche, c’est bien souvent celles du Péloponnèse qui apparaissent. Région variée et riche en sites archéologiques, on y trouve l’ancienne Olympie, Sparte (avec le site de Mystras), Corinthe, etc. Mais ce n’est pas tout, le Péloponnèse est un territoire riche en forêts, en montagnes et parcs naturels. À vélo, les paysages variés se succèdent, pas le temps de s’ennuyer une seconde ainsi !
3. La Chalcidique
Région à proximité de Thessalonique, on trouve 3 presqu’îles au sud de la région. La première, Cassandra, est la plus touristique, la seconde, Sithonia, est plus sauvage. La troisième, celle du Mont Athos, est quant à elle interdite aux femmes (oui oui, nous sommes en 2021). Il paraît que les hommes peuvent y aller pour une bonne grosse session de méditation pendant que mémère a le droit de faire du shopping. La seconde presqu’île est idéale pour les voyageurs à vélo car l’on peut facilement y camper sur des plages désertes !
4. Les Météores
C’est une expérience mi-figue mi-raisin de se rendre dans les Météores à vélo. Tout dépend de l’itinéraire par lequel vous arrivez finalement. Mais si vous êtes entre Athènes et Thessalonique, il faudra vous attendre à de longues journées bien ennuyeuses pour aller visiter les Météores. La plaine, ce n’est jamais trop réjouissant (à moins que vous ne décidiez de rajouter quelques kilomètres pour suivre la côte). Toutefois le lieu en vaut la chandelle et, pour notre part, c’est en faisant ce détour que l’on a rencontré Ringo, alors pourquoi pas ! Même sans Ringo, nous n’aurions pas regretté d’avoir été voir ces monastères impressionnants !
5. La Macédoine
Dans les montagnes au nord du pays, on profite de paysages boisés, de parcs naturels et d’une nature riche. Les grecs sont bien plus accueillants car la Macédoine est bien moins touristique du côté des montagnes. Et si le parcours est exigeant physiquement, le climat plus clément et la beauté des sommets vous laisseront de magnifiques souvenirs. C’est l’une des parties que nous avons préféré même si nous n’avons pas croisé de grands sites archéologiques !
À quelle période visiter la Grèce à vélo ?
Entre avril et mi-juin et de septembre à novembre, le climat est idéal pour pédaler. Les hivers quant à eux sont parfois doux, parfois froids. C’est important d’en avoir conscience si on veut rouler lors des mois les plus frais.
Après avoir affronté un mois et demi de canicule intense pendant notre traversée de la Grèce à vélo, nous vous recommandons d’éviter la région les mois de juillet et août. À vélo, on peut accepter quelques jours de canicule facilement mais la subir dans la durée est un tout autre challenge. De plus, la saison touristique étant ouverte, les routes sont bien moins agréables.
La Grèce à vélo : un pays au relief difficile
La Grèce est composée à 80% de montagnes. Autant vous dire qu’il est difficile de ne pas être confronté à un col ou à une montagne à un moment ou un autre. Si vous souhaitez traverser le pays, il est possible d’éviter les plus hauts cols en longeant la mer entre Patras et Athènes sur l’EuroVelo 8. C’est moins fun, mais ça roule bien.
Si vous choisissez un autre itinéraire, il faudra être prêt à monter si vous devez passer de l’ouest à l’est (et vice versa). À vélo, on rencontre du dénivelé quasiment au quotidien dans tous les cas. Le relief est toujours présent en Grèce.
En ce qui concerne le vent, en nous dirigeant vers le sud sur la côte ouest, nous n’avons jamais eu le vent de face. À notre grand étonnement, nous avons obtenu le même résultat en allant vers le nord sur la côte est. Difficile donc de vous aiguiller sur le sens à prendre en Grèce, les vents nous ont toujours été favorables !
Envie de visiter la Grèce à vélo ?
Quel budget pour voyager à vélo en Grèce ?
À notre grande surprise, parcourir la Grèce à vélo revient plutôt cher. Les logements tournent facilement aux alentours de 40€ la nuit. Parfois 25 à 30€ dans les zones touristiques où la concurrence fait rage, rarement moins. Nous avons régulièrement pris des logements pour dormir avec la climatisation et se mettre à l’abri des 40°C. Ce qui a bien entamé le budget de notre voyage au long cours !
Concernant les courses alimentaires, c’est quitte ou double. Dans un village, on pourra faire des courses pour 3 fois rien, puis se retrouver dans une supérette dans le village suivant où l’on payera le double. Plus la zone est touristique et déserte de grandes surfaces, plus les prix sont élevés. Par ailleurs, on a remarqué que les petites boutiques spécialisées sont souvent moins chères. Encore faut-il avoir le temps et qu’il y en ait.
L’astuce ? Si vous aimez manger frais, les fruits et légumes vendus en direct par les agriculteurs sont vraiment donnés par rapport à ceux que vous achetez dans les grandes surfaces. Ils passent en voiture dans les villages ou tiennent souvent des stands au bord de la route.
Concernant les prix des entrées des lieux touristiques, encore une fois, c’est très cher. 8 à 20 € par site. Ayant un budget limité, nous n’en avons visité que très peu. Et, malgré tout, nous avons dépassé le budget que nous nous étions alloué.
L’accueil grec
Comme partout ailleurs, dans les zones touristiques du monde, l’accueil est chaleureux, poli mais pas pour autant convivial. Si l’on veut faire des rencontres, dormir chez l’habitant, échanger avec les locaux aisément, il faudra s’éloigner des stations balnéaires et de la côte !
Globalement, les grecs sont très sympas et bienveillants. Nous avons toujours été bien reçus contrairement à ce que l’on a pu vivre dans d’autres zones touristiques (en Croatie par exemple).
La sécurité en Grèce
En 2 mois, nous nous sommes sentis une seule fois en insécurité, ce qui veut dire que nous nous sommes quasiment toujours sentis en sécurité. C’était dans le train de Corinthe à Athènes (nous ne voulions pas entrer dans Athènes à vélo). Nous nous sommes retrouvés au point de RDV de la drogue, là où les ventes s’effectuent entre toxicomanes et dealers. Il y avait eux dans le wagon et nous, posés au milieu de leur trafic, avec nos deux vélos chargés, le vélo d’un toxico assez agressif posé sur le mien.
Hormis cette situation exceptionnelle, tout s’est bien passé.
La sécurité sur les routes de Grèce
Contrairement à ce que nous avons lu sur de nombreux blogs, nous nous sommes presque toujours sentis en sécurité sur les routes en Grèce. Nous en avons déduit que s’il y a une conduite à blâmer, ce n’est pas forcément celle des grecs, mais probablement celle des touristes, nombreux dans le pays.
Nous avons eu la chance de visiter le pays alors que les touristes n’étaient pas encore arrivés (ouverture toute récente suite à la pandémie de covid-19). Les routes étaient quasiment vides, les dépassements respectueux et les petits coups de klaxon d’encouragement nombreux. Une fois la haute saison touristique lancée, l’ambiance est devenue totalement différente et nous avons privilégié davantage le off-road.
Pour être vraiment à l’aise en saison, il vaut peut-être mieux favoriser des lieux non touristiques pour voyager en Grèce à vélo paisiblement.
Les endroits à éviter à vélo
1. L’entrée dans Athènes
Afin de garantir votre sécurité, nous vous conseillons d’entrer ou sortir d’Athènes en train ou en bateau. Athènes concentre la moitié de la population de la Grèce, soit 5 millions d’habitants avec sa banlieue. Elle n’a pas été pensée pour le vélo et ses accès sont donc assez fréquentés, stressants et longs à vélo. Des navettes en bateau vous permettent également d’arriver directement à Le Pirée depuis la petite île de Salamina, ce qui peut éviter le plus gros de la circulation de la ville.
2. L’entrée dans Thessalonique
La banlieue de Thessalonique n’est pas une partie de plaisir. Sauf en passant par le parc national du delta de l’Axios en rentrant par l’ouest, ou par le nord, au niveau des lacs où l’entrée se fait bien.
Si vous entrez ou sortez à l’est de la ville (par les plages), une navette maritime accepte sans supplément les vélos (et les chiens). Le prix du billet est quant à lui à 5€ mais vous amène directement devant la tour blanche à Thessalonique ou à la sortie de la ville.
Pour l’entrée à l’ouest de la ville, passez par le delta même si l’itinéraire est plus long, l’entrée se fera plus en douceur jusqu’à une piste cyclable qui longe la mer et avec un peu de chance, vous pourrez observer les flamants roses.
Les chiens errants
Les chiens errants sont nombreux en Grèce et se lancent très régulièrement à la poursuite de nos vélos. Il n’est pas rare de croiser des bandes de 4 ou 5 chiens. Durant ces deux mois, nous avons suivi les recommandations que nous avons donné dans l’article concernant les chiens agressifs. Nous n’avons eu aucun problème. On a même fini avec un petit chiot, notre nouveau compagnon de voyage 🙂
Le tout est d’avoir les bons réflexes lorsque les chiens errants se lancent vers vous.
L’hébergement avec un vélo en Grèce
Hôtels et guesthouses
Si vous souhaitez un hébergement en dur, pour une nuit ou parce que vous voyagez sans équipement de camping, il existe un site qui répertorie les hôtels bike friendly en Grèce. Dans les faits :
- Hormis en dehors des grandes villes, nous avons toujours trouvé des hébergements facilement sans avoir à se poser la question pour les vélos (il y a souvent une cour intérieure, un balcon, un espace jardin). Prévoyez simplement un petit cadenas !
- Dans les grandes villes, il est assez aisé de trouver un hôtel sur Booking en filtrant un accès en rez-de-chaussée. Il y a généralement quelques marches, mais ce ne sont pas des appartements au 6ème étage !
Camping
Le long de la côte, il y a de nombreux campings. Ils sont plus ou moins bien équipés, plus ou moins propres, mais tous proposent globalement les mêmes tarifs : comptez aux environs de 15-25€ la nuit avec une petite tente. C’est assez cher, mais ça permet de prendre une douche chaude de temps à autre.
Nos bonnes adresses de camping se trouveront dans les articles dédiés à nos visites en Grèce.
Le bivouac en Grèce
Le bivouac en Grèce peut être passible d’une amende de 300€ environ. En théorie, il n’est pas autorisé par la loi. En pratique, c’est plutôt assez bien toléré. L’avantage de la Grèce, c’est qu’elle regorge de nombreuses plages et criques sauvages qui ont bien souvent une petite douche et un petit point d’eau (non potable). On peut donc camper assez aisément. Des zones comme la Calchidique ou la côte ouest de la Grèce sont presque faites pour ça !
À chacun de nos – TRÈS – nombreux bivouacs, nous avons toutefois fait attention à être discrets et à montrer que nous respections les lieux. Nous n’avons donc jamais eu de problème.
Si ce sujet vous pose question, nous vous invitons à lire notre dossier complet sur le bivouac, avec des astuces pour poser la tente, des conseils d’applications à consulter, etc.
Attention aux animaux sauvages en montagne !
J’ai eu (car Denni dormait à poings fermés) la mauvaise surprise de me faire réveiller, fort probablement, par un ours qui s’est mis à nous grogner dessus. J’ai bien entendu un animal, assez imposant arriver. J’ai d’abord cru que c’était un sanglier. Puis il nous a sentis et s’est mis à grogner avec l’intonation d’un animal puissant et certainement pas le cri du sanglier. Mes tripes se sont complètement resserrées. Je n’ai pas bien dormi pendant plusieurs nuits après ça, même si nous n’étions plus en altitude. Je ne peux pas affirmer à 100% que c’était un ours, mais en ayant éliminé toutes les autres possibilités, c’est probablement le cas.
En bref, si vous êtes en altitude en Grèce, n’oubliez pas :
- de cuisiner loin de votre campement, au moins 50 m, pour ne pas attirer la bête
- de mettre votre nourriture loin de votre campement, préférablement suspendue dans un arbre.
Il y a beaucoup moins d’ours en Grèce qu’au Canada, mais c’est peut-être mieux de prendre quelques précautions au cas-où…
L’accès à l’eau potable en Grèce
À vélo, l’accès à l’eau est primordial. Mais attention, en Grèce, il y a quelques pièges. A priori, et en lisant les informations officielles, l’eau y serait potable. Toutefois, tout au long de notre voyage à vélo en Grèce, nous avons eu de mauvaises surprises. Il faut donc prendre cette information avec des pincettes.
- Dans les campings au bord de mer, il arrive régulièrement que l’eau ne soit pas potable (même si le personnel affirme le contraire). Vérifiez bien que l’eau soit claire. Sinon, il faudra la filtrer ou acheter de l’eau en bouteille.
- Nombreuses sont les fontaines dans le pays, sauf qu’il est difficile de savoir si ces dernières sont potables ou non. À vrai dire, cette information n’est jamais indiquée. En bord de mer, régulièrement, elles ne sont pas vraiment potables. N’hésitez pas à demander aux gens autour de vous, ils vous diront tout de suite si c’est ok ou non. Pour info, oui en grec se dit « Nai » !
Nous n’avons quasiment pas eu de problème dans l’ouest du pays concernant l’eau. Les fontaines sont nombreuses et généralement potables. Les premiers soucis ont commencé une fois que nous avons traversé le Péloponnèse, à partir d’Astros.
Quel équipement pour la Grèce à vélo ?
Équipement pour le vélo
Il est assez aisé de suivre les routes goudronnées, mais si vous voulez vraiment vous éclater, les petites routes secondaires sont un petit bonheur car souvent non asphaltées. De nombreuses plantes épineuses se trouvent sur les routes de Grèce. Ne soyez donc pas surpris si votre super Schwalbe Marathon Plus n’y résiste pas une fois de temps à autre.
Je vous conseille donc d’avoir un bon vélo de voyage (comme on vous le conseille à chaque article), avec des pneus robustes et assez larges pour les petits chemins souvent bien chaotiques de la Grèce (largeur minimum 1,75 voire 2 pour être bien à l’aise).
Aussi, n’oubliez pas rustines, pompe à vélo et quelques tutos pour réparer vos pneus crevés au cas où. Un peu d’huile aussi pour graisser la chaîne, car le temps est très sec.
Afin d’en savoir plus sur ce sujet, nous vous invitons à consulter notre article sur le choix du vélo de voyage.
Équipement à mettre dans les sacoches
Voici quelques astuces pour vivre confortablement votre découverte de la Grèce à vélo :
- Nous vous conseillons une tente double-toit afin de pouvoir n’utiliser que la chambre en cas de forte chaleur. Si vous préférez le bivouac sous tarp ou hamac, prévoyez absolument une moustiquaire.
- Nous vous conseillons des vêtements techniques ultra-légers comme mon t-shirt technique Vaude qui a un effet seconde peau. Le t-shirt en coton sera puant dès la première heure.
- Sandales, shorts, une casquette cycliste au besoin, en bref prévoyez d’avoir chaud si vous venez l’été !
Les transports en Grèce
Pour rejoindre la Grèce, nous avons pris un des nombreux ferrys qui rejoignent les ports de Igoumenitsa, Patras, Corfou, Athènes, Thessalonique, etc. Comme nous venions d’Italie, nous avons pris le ferry de Ancône à Igoumenitsa. Le trajet est long (22h), c’est pourquoi nous avions pris une cabine.
Sur place, il est possible de se déplacer assez aisément :
En train
- Il existe des trains régionaux, l’équivalent de nos TER, avec des espaces vélo gratuits.
- Les trains inter-régionaux acceptent généralement les vélos avec un supplément de 5€. Il faut les monter dans un espace prévu à cet effet et fermé à clef tout le long du trajet. En revanche, la marche est très haute pour descendre !
En bus
Les vélos sont généralement acceptés dans les bus locaux ou internationaux avec un petit supplément (souvent 5€ également).
En bateau
Les vélos sont acceptés à bord des bateaux, généralement gratuitement !
Aller plus loin
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Bonjour,
J’ai lu avec attention votre article sur la Grèce car nous y étions environ en même temps et cela me rappelait des bons souvenirs. Je ne suis par contre pas d’accord avec vous pour 2 choses : entrer et sortir d’Athènes à vélo n’est ni compliqué ni insécurisant, nous l’avons fait avec 2 enfants de 8 et 13 ans sans problème, idem pour Thessalonique où nous sommes même passé 2 fois…et concernant les chiens, ils sont rarement agressifs si on ralentit en passant à leur hauteur, et qu’on n’en a pas peur… Bonne suite de voyage !! Vinciane
Bonsoir,
Tant mieux si votre expérience a été différente de la nôtre sur ces points. Ceci dit, on a été beaucoup plus modéré que ça concernant les chiens (je crois que cette partie a été lue en diagonale) et sommes entrés plusieurs fois dans Thessalonique aussi… Ça ne change pour autant pas notre ressenti ! À chacun de se faire son propre avis, on a tous des niveaux de tolérance différents.
Bonne journée,
Mila