TEST Croozer Vaaya : la meilleure remorque vélo enfant ?

par | Mis à jour le 10/12/2024 | TEST matériel | 0 commentaires

Depuis près d’un an, nous sommes les heureux propriétaires d’une remorque vélo enfant Croozer Vaaya 1. Nous l’avons d’abord utilisée pour la promenade et elle est vite devenue notre poussette du quotidien. Puis, nous l’avons embarquée dans de nombreux voyages à vélo et à l’occasion de nos entraînements.

D’abord en hamac dès ses 7 mois, puis dans son siège bébé, Léa a passé des centaines d’heures à bord de la Croozer Vaaya. L’occasion pour nous de tester ce produit sous toutes ses coutures et de vous faire un retour détaillé avec ce test de longue haleine !

Média 100% transparent

Sponsorisé : non | Lien(s) d’affiliation* : oui | Dotation produit : oui

La marque Croozer

Croozer est une entreprise allemande spécialisée dans la conception et la fabrication de remorques polyvalentes pour vélos. Fondée en 1993 et basée à Cologne, Croozer s’est imposée comme un acteur majeur dans le domaine des remorques à vélo, avec une philosophie centrée sur la durabilité, l’innovation et la sécurité.

Croozer propose des remorques adaptées à différents besoins :

  • Remorques pour enfants : Permettent de transporter jusqu’à deux enfants avec confort et sécurité. Elles sont souvent convertibles en poussettes ou joggers.
  • Remorques pour chiens : Conçues pour transporter des chiens de différentes tailles, avec des fonctionnalités adaptées comme des matériaux résistants et des entrées basses (cf. notre article sur le voyage à vélo avec un chien).
  • Remorques pour le transport : Idéales pour transporter des charges lourdes ou encombrantes, parfaites pour les courses ou les voyages.

Croozer met en avant son engagement pour une mobilité durable et écologique, encourageant l’utilisation du vélo comme alternative à la voiture. L’entreprise cherche à réduire son empreinte carbone à travers des processus de fabrication responsables.

Description de la Croozer Vaaya 1 

La remorque vélo Croozer Vaaya 1 est un modèle haut de gamme adapté à l’enfant de la naissance (en mode poussette et avec un hamac) et jusqu’à ce qu’il surpasse 105 cm. Remorque 3 en 1, il est possible de l’atteler à un vélo, d’en faire une poussette ou d’en faire un kit jogging pour aller s’entraîner à la course.

  • Dimensions : 110 × 72 × 94 cm
  • Dimensions pliée : 106 x 72 x 28 cm
  • Poids total : 16 kg
  • Capacité maximale : Jusqu’à 35 kg (poids de l’enfant et des affaires)
  • Système de suspension : Suspension Croozer AirPad® 
  • Tissu et structure : Châssis en aluminium et acier robuste avec une coque en tissu polyester imperméable
  • Éclairage intégré : Feu arrière à capteur de luminosité (alimenté par une batterie amovible)
  • Coffre à bagages intégré spacieux (43 l)
  • Roues : 20 pouces 
  • Harnais : Harnais de sécurité 5 points rembourré et ajustable
  • Ventilation :  Ouverture des panneaux avant et arrière
  • Accessoires inclus : Barre d’attelage pour vélo, drapeau de sécurité, et housse de pluie. En option, le kit jogger et le hamac.
  • Prix : Environ 1049 €

CODE PROMO

Jusqu’à la fin de l’année 2024, profitez d’une réduction exceptionnelle de 25% pour tout achat d’une remorque vélo Croozer sur le site de la marque avec le code promo suivant :

HI25UNMONDE

Conditions du test

Nous avons testé la remorque vélo Croozer Vaaya 1 pendant près d’un an sur : 

  • tous types de terrain (asphalte, gravel, pistes VTT, etc.) 
  • dans tous types d’environnement (montagne, fort dénivelé, bords de mer et plages, villes, campagnes, etc.)
  • par temps froid, sous la pluie, la neige et par temps très chaud
  • plus de 3 500 km parcourus à vélo entre voyages et entraînements.

Nous avons voyagé à plusieurs reprises avec la remorque Croozer notamment de Cuneo à Turin sur l’EuroVelo 8, sur la Ronde des Vallées et Forêts ainsi que sur la Vallée du Lot à Vélo.

Nous avons principalement utilisé la remorque Croozer Vaaya en mode poussette ou remorque vélo. Nous avons le kit jogger mais n’avons pas réussi à reprendre la course comme souhaité !

Prise en main et montage de la Croozer Vaaya

Nous avons reçu la remorque Croozer Vaaya ainsi que son hamac et son kit hiver rembourré dans un colis bien emballé et sécurisé. 

Le premier montage nous a pris un peu de temps car il a fallu comprendre les éléments. Mais une fois que tout a été acquis, la remorque est plutôt simple à monter. 

Au premier montage, le système qui permet de plier et déplier la remorque est très dur. Il a fallu nous y prendre à plusieurs reprises pour y arriver. Mais ce dernier s’est heureusement bien assoupli au fur et à mesure. 

Le guidon nous donne également un peu de fil à retordre, mais après quelques essais nous y arrivons. Quant à la barre d’attelage ou la roue qui permet de faire de la Croozer une poussette, le système se monte en 2 mouvements. 

Il ne reste plus qu’à installer le hamac, qui une fois que l’on a pris la main, ne prend lui aussi que deux minutes.

Premières impressions sur la remorque vélo Croozer

Fiou, la première impression est exceptionnelle. À première vue, la remorque semble très qualitative et offre un habitacle large et de nombreuses petites astuces bien pensées. Tout d’abord, autour du siège plusieurs pochettes sont installées pour que bébé puisse récupérer ses jouets ou les ranger à sa guise. À ses pieds, l’espace est suffisamment large pour qu’il grandisse à son aise. 

L’ouverture à l’avant est également bien réfléchie. Le système se ferme avec du velcro et contient une double protection : une bâche anti-pluie et coupe-vent d’abord, puis une moustiquaire en-dessous. Des systèmes d’attaches permettent de choisir si l’on souhaite ouvrir tout ou partie de la fenêtre. À l’arrière, l’ouverture qui permet d’accéder au coffre peut être laissée ouverte afin de faire un courant d’air.  

À l’arrière, le coffre est grand et nous permet de ranger jouets, couverture, chauffe-biberon, biberons, lait, réhausseur, habits de rechange et la roue de la poussette.

La remorque vélo Croozer Vaaya 1 sur le terrain

Elle a beau être 3 en 1, selon moi la remorque Croozer Vaaya 1 est avant-tout une remorque vélo. Elle a été pensée, conçue et améliorée au fil des années pour la pratique du vélo. Et c’est ici qu’elle se révèle le mieux ! C’est pourquoi son utilisation en voyage à vélo est l’élément sur lequel nous allons nous attarder le plus. De toute façon, ça colle bien mieux à la thématique Un Monde à Vélo, n’est-ce pas ? 

Le suivi de la remorque sur le terrain

Une fois le vélo lancé, la remorque Croozer est bluffante. En réalité, on ne la ressent que très peu sur terrain plat. La sensation de légèreté est là, même en montée. Avec ses roues de 20” et sa stabilité, on l’oublie facilement. 

Par rapport à la Burley Tail Wagon que l’on a beaucoup testé avec Ringo (notre chien), je me rends bien compte que nous sommes quelques gammes au-dessus. La remorque est extrêmement qualitative de ce fait. Elle pèse 4 kg de plus que la Burley mais donne la sensation d’en faire 6 de moins. 

Bien entendu, en montée le poids se ressent davantage, mais elle suit vraiment bien ce qui fait que la sensation de lourdeur reste limitée. En voyage à vélo, chargée de mes sacoches, j’admets avoir eu quelques difficultés dès que les pentes surpassaient plus de 10%, ce qui reste raisonnable. Entre mes bagages, Léa et les affaires de Léa dans la remorque, mes muscles ont tremblé, mais ça fait partie du jeu !

Les roues et pneus

Les roues roulent vraiment bien et sont solides. En tout et pour tout, il a fallu les regonfler deux fois depuis un an. J’avais lu quelque part qu’il était préférable de remplacer les pneus par des Schwalbe Marathon mais, pour l’instant, je n’ai rencontré aucun problème. Aucune crevaison malgré les terrains variés ! 

Contrairement au problème rencontré sur la Burley et sur son système de clips des roues, je trouve le système Croozer bien plus performant et d’une simplicité d’utilisation inégalable. On enlève ou remet la roue en poussant sur le bouton central de la roue, tout simplement !

L’étanchéité

Je n’ai pas pris de bâche anti-pluie. J’ai regretté sur le coup en me disant que s’il pleuvait fort, nous aurions sans doute des soucis. Nous avons subi une pluie orageuse intense pendant une journée avec Léa dans sa remorque. Elle avait 10 mois à ce moment-là et ce n’était pas prévu au programme. 

Force est de constater que, au niveau des fenêtres et du dessus, l’étanchéité a été efficace et l’eau n’est pas rentrée, même sans la bâche de protection complémentaire (mais peut-être qu’une heure de plus aurait été limite). 

En revanche, l’eau est passée par le plancher de la remorque. En soit, ça n’aurait pas été problématique aujourd’hui car Léa porte désormais des chaussures. Mais à 10 mois, elle passait sa vie à les enlever. Nous l’avons retrouvée avec des petits petons tout mouillés et gelés. Bon à savoir : il vaut mieux avoir des chaussures que les petits bouts ne peuvent pas enlever et ne pas laisser au sol les éléments qui craignent l’eau lors des grosses journées de pluie ! 

À noter, le siège quant à lui n’a pas été mouillé et seul le sol de la remorque l’était. 

Solidité, durabilité 

La remorque vélo Croozer Vaaya 1est vraiment robuste et donne une sensation de sécurité. Elle ne donne aucun signe de faiblesse ou de défaillance aujourd’hui et semble encore toute neuve malgré notre utilisation quotidienne ! Et c’est d’ailleurs le point le plus important (cf. les photos après un an. La carriole est pleine de poussière, mais en excellent état) !

Le click & Crooz

Pour attacher la remorque, nous avions changé l’axe de roue de nos deux vélos par les axes traversants de Croozer adaptés à nos vélos. En complément, nous avions le système d’attache Click & Crooz universel, ce qui nous a permis d’installer la remorque sur plusieurs vélos que nous avons testés cet été. 

Attacher la remorque Croozer n’a jamais été un problème. On axe le bras d’attelage sur l’attache, on clipse et hop c’est réglé. En revanche, nous avons rencontré des soucis pour détacher la remorque sur les deux vélos où nous avions remplacé l’axe de roue par celui de Croozer. 

Nous avions opté pour l’axe de roue car c’est davantage sécurisant. Certes, la carriole est équipée d’un petit système de sécurité complémentaire qui fait que si le Click & Crooz casse, la remorque reste attachée… Mais on préférait !

Eh bien, on a passé un temps fou à détacher la remorque du vélo à chaque fois. Sur le système directement sur l’axe de roue, il faut que le vélo soit parfaitement droit pour pouvoir détacher le bras d’attelage. Un équilibre pas toujours simple à trouver lorsqu’on manœuvre d’une main et essaie de maintenir le vélo de l’autre main. Il fallait souvent s’y mettre à deux. 

Nous avons rencontré des difficultés tant avec le Megamo Jakar 30 qu’avec le RT900. En revanche, avec le Stilus et l’attache universelle, aucun problème. J’en conclus donc que c’est presque mieux de rester sur l’attache universelle Click & Crooz.

Pliage, dépliage de la remorque Croozer

En France, les remorques de vélo non pliées sont interdites dans le train. C’est un peu galère en voyage, mais on fait avec. 

Avec l’usage, la remorque est devenue plus facile à plier, déplier. Deux clips à l’arrière, deux clips dans les roues, un clip sur la roue avant si elle est installée, une petite manœuvre pour enlever le bras d’attelage et en moins de 30s c’est plié, emballé ou déplié !

Seul hic, notre guidon (qui semble vraiment être le seul à poser problème car je n’ai jamais lu de retours à ce sujet). On peut passer plusieurs minutes à le déinstaller, réinstaller. Il faut bien l’enfoncer des deux côtés en même temps, mais il est assez capricieux et il a tendance à faire des siennes. Il faudra que l’on contacte le service client à ce sujet, voir ce que l’on peut améliorer !

Le hamac et son kit hiver

Lorsque nous avons reçu la remorque enfant, Léa était trop petite pour l’asseoir sur le siège. Nous avons donc opté pour le hamac. 

Il est recommandé d’utiliser la Croozer Vaaya 1 en mode poussette à partir d’un mois mais de ne pas l’utiliser à vélo tant que bébé ne tient pas sa tête tout seul. Nous avons préféré attendre encore jusqu’à ce que bébé ait suffisamment de motricité et qu’elle tienne bien assise toute seule ! 

Il n’empêche que dans le hamac, elle était à la fois bien maintenue, confortable (c’était la sieste garantie) et surtout le hamac amortit d’autant plus les vibrations ! 

Avec le kit hiver qui tombait à pic car il fait très froid chez nous, elle était dans une petite bulle appréciable. Grâce à cela, dès tout bébé, elle a eu le droit à sa balade quotidienne, qu’il neige, pleuve ou vente !

Si le hamac peut aller jusqu’à 10 mois, j’ai commencé à le trouver trop serré vers 8 mois et demi et j’ai senti qu’elle préférait être assise. Nous l’avons donc retiré assez vite finalement (nous avons pris la remorque beaucoup trop tard) !

Le siège enfant de la remorque

Le siège bébé de Léa est confortable et elle semble s’y trouver vraiment à l’aise. Assise, elle joue, s’amuse et attrape ses livres ou ses friandises dans les petites pochettes lorsqu’elle le souhaite (ça l’occupe pas mal) !

Le seul point que je regrette, c’est que le siège ne soit pas inclinable. Lorsqu’elle s’endort, elle finit toujours dans une position qui me semble assez inconfortable. J’aurais aimé pouvoir l’allonger davantage lors de ses siestes. 

L’espace de rangement / le coffre

L’espace de rangement est vraiment le point fort de la remorque. Il y a vraiment de quoi faire… Nous y avions tout un tas de choses pour Léa. Attention toutefois à ne pas mettre d’objets durs ou volumineux derrière le siège car ce serait inconfortable pour le bébé !

Croozer Vaaya, coffre de rangement

Ventilation de la remorque vélo enfant Croozer Vaaya 1

Les deux fenêtres sont assez suffisantes pour laisser assez d’air entrer la plupart du temps. De notre côté, nous laissons quasiment constamment une ouverture en bas de la remorque, en “dézippant” une partie de la fenêtre et en la repliant par en-dessous (cf. photos en dessous). Cela permet à bébé de mieux respirer tout en étant assez protégé du froid. 

En cas de beau temps et de chaleur, les choses se corsent un peu. Nous ouvrons alors entièrement la remorque, mettons le pare-soleil au maximum, un chapeau sur la tête de bébé et nous lui donnons à boire très régulièrement car malgré toute la ventilation, il fait assez chaud dans la remorque

Seul hic : quand la remorque est ouverte, bébé reçoit un peu de poussière ! Mais ce sera pareil avec toutes les remorques à mon avis.

Bon à savoir : les remorques ont un véritable “effet de serre”. S’il fait beau, je vous conseille de ne pas fermer totalement la remorque et ce, même en hiver. Quitte à couvrir un peu plus bébé !

Le pare-soleil : un plus indispensable

Avec votre remorque enfant Croozer Vaaya 1, je vous recommande de prendre le pare-soleil en complément (cf. photo ci-dessous. À savoir, il n’est pas déplié, je n’ai pas trouvé de photo où on le voit prendre tout l’espace…). C’est indispensable pour bébé !

D’ailleurs, nous l’avons souvent complété de nos propres vêtements ou d’une couverture afin de s’assurer que Léa reste à l’ombre les jours de grosse chaleur. 

Les autres modes de la remorque Croozer Vaaya 1 sur le terrain 

La remorque Croozer Vaaya en mode poussette

En mode poussette, la remorque Croozer Vaaya est dotée de trois roues. Les deux roues arrière habituelles et une petite roue devant qui s’installe en un clip. 

Malgré son poids, la poussette semble légère, ce qui me donne presque l’impression d’avoir une poussette électrique. Ce confort se ressent sur toutes les balades. En réalité, je ne ressens pas de différence entre la poussette traditionnelle et la poussette Croozer en termes de sensation de poids. Dans les faits, il y a bien 10 kg de plus, mais la Croozer est bien conçue, plus roulante, alors cela ne se ressent pas du tout. 

D’ailleurs, elle roule si bien que l’une de mes craintes est de chuter et de lâcher la remorque par inadvertance, surtout sur nos routes très pentues des Alpes !

Heureusement, cette situation n’est jamais arrivée et la remorque est dotée d’un bon frein que je ne manque jamais d’enclencher à l’arrêt. 

Concernant la marche, j’ai tout de même relevé quelques petits points qui ne gênent pas l’usage : 

  • La roue avant est plutôt bruyante dès que nous ne sommes pas sur un asphalte bien lisse. Lorsque je balade Léa, il m’arrive souvent de relever la poussette pour qu’elle ne roule qu’avec les deux roues arrière et pour profiter d’un instant de calme. 
  • Là où la remorque Croozer Vaaya pèse particulièrement lourd dans un cas de figure : en descente ! Plusieurs fois j’aurais aimé pouvoir enclencher à demi le frein afin de pouvoir la freiner légèrement. Mais ce n’est pas possible.

La poussette Croozer Vaaya 1 passe toutes les portes, ce qui est un gros avantage ! Mais elle ne passe pas inaperçue. Dans les allées des magasins, il m’est arrivé à plusieurs reprises de me faire alpaguer par un monsieur sécurité pas très heureux.

Je pense que la Croozer Vaaya est excellente mais que c’est important de la combiner avec une poussette canne au quotidien. Le gros avantage, c’est que j’embarque Léa pour la crèche n’importe quelle météo. Mais dès qu’il fait beau ou que je dois aller dans des boutiques, je trouve quand même plus pratique d’opter pour la poussette traditionnelle ! 

Dernier élément pour un usage au quotidien : il faut tout de même avoir un peu d’espace pour la stocker. Un garage, une entrée ou une pièce que l’on n’utilise pas accessible facilement, etc. Contrairement à une poussette canne, elle prend un peu de place, même repliée !

Pour rien au monde je partirais en voyage à vélo sans la petite roue avant et le guidon. Même pour économiser quelques grammes… Tout du moins, tant que bébé ne marche pas ! Nous avons utilisé, sans ces éléments, un modèle de remorque XLC sur les Îles Féroé (powered by Croozer, on reste sur des bases très similaires) et cela nous a énormément manqué. C’est très pratique de passer du vélo à la balade en ville et aux allées des magasins pour permettre de renflouer les stocks de nourriture en deux mouvements ! 

La remorque Croozer Vaaya en mode jogger

Je ne pense pas que cette partie du test soit très optimale car je n’ai couru que 3 fois avec la remorque. En réalité, le terrain chez moi n’est pas adapté. Je manque cruellement d’un espace type “voie verte” pour aller courir avec la puce. 

Ce que je peux en dire c’est : 

  • Il faut prendre le pli et le rythme pour réussir à manoeuvrer la remorque car la roue avant ne tourne pas (il faut soulever un peu la remorque). 
  • La remorque est aussi confortable qu’à son habitude et silencieuse car la roue avant est différente de la roue “poussette”. Parfait pour les siestes de bébé. 

Mon avis sur la remorque vélo enfants Croozer Vaaya 1

Note : 4,5/5

  • Qualité 100% 100%
  • Ergonomie / Simplicité d’usage 95% 95%
  • Confort sur route 95% 95%
  • Confort enfant 85% 85%
  • Imperméabilité 90% 90%
  • Ventilation 95% 95%
  • Poids 85% 85%
  • Dimensions remorque pliée 85% 85%

Après un an d’utilisation, je dois dire que je suis comblée par cette remorque incroyable. Elle est fiable, qualitative et elle nous a ouvert de nombreuses perspectives de voyage. Le fait qu’elle suive très bien, même en montée, nous a permis d’aller sur des itinéraires qui étaient tout de même un minimum corsés. 

Nous avons menée la remorque Croozer Vaaya 1 sur des terrains parfois bien cabossés sans qu’elle ne bronche. Les suspensions sont super, le suivi exceptionnel et d’un point de vue général, c’est une remorque vélo très qualitative !

Les points de détails ou d’améliorations relevés dans cet article ne sont que des petits éléments qui n’entâchent en rien tout le positif que nous pensons de la Croozer Vaaya. Ah et un point important : s’il y a une passagère qui apprécie grandement sa remorque, c’est bien Léa qui gazouille dès qu’elle est à bord !

Les plus

  • La qualité optimale
  • La simplicité d’utilisation et de changement de mode
  • Une fiabilité à toutes épreuves

Les moins

  • Siège enfant non inclinable
  • Roue avant bruyante sur certains terrains en mode poussette
  • Le retrait de la barre d’attelage et du guidon difficiles 

Ces articles vous intéresseront aussi 

Mila - rédactrice Un Monde à Vélo

À propos de l’autrice

Mila

En 2017, à l’occasion de son premier tour d’Europe à vélo, Mila commence à partager ses expériences de baroudeuse. Passionnée de photographie et engagée, elle lance le média Un Monde à Vélo. Son objectif : rassurer dans un discours ambiant du dépassement de soi et rendre la thématique du cyclotourisme accessible à tous et surtout à toutes. 

0 commentaires

Soumettre un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *