De Rennes au Mont-Saint-Michel en 4 jours – La Traversée Bretonne

par | Mis à jour le 13/10/2025 | La Bretagne à vélo, La Normandie à vélo | 1 commentaire

Après une première partie de La Traversée Bretonne entre Nantes et Rennes, je vous emmène sur la suite de cet itinéraire vélo breton pas comme les autres sur la partie de Rennes au Mont-Saint-Michel. Oui, le célèbre joyau posé sur son rocher marque en beauté la fin de ce voyage à la fois doux, accessible et profondément dépaysant.

J’ai eu la chance de parcourir cet itinéraire à deux reprises en moins d’un an. La première fois, c’était en octobre 2024, avec ma mère, 70 ans et un sacré courage pour sa toute première aventure à vélo, et ma fille Léa. Nous sommes parties pour trois jours d’émotions et de rires partagés le long du canal d’Ille-et-Rance jusqu’à Saint-Malo.

Cette fois, j’ai repris la route seule avec Léa au départ de Rennes. Une aventure sous un autre regard, toujours entre écluses fleuries, villages paisibles et haltes gourmandes. Ce voyage à travers la Bretagne entre Rennes, Dinan, Dinard, Saint-Malo, Cancale… et jusqu’au Mont-Saint-Michel est une jolie parenthèse de 3 à 4 jours !

Étape 1 : Rennes – Hédé-Bazouges, 46 km

Que vous commenciez la Traversée Bretonne depuis Nantes ou que vous arriviez en train à Rennes, rejoindre le canal d’Ille-et-Rance est d’une simplicité étonnante. Depuis la gare, tous les quais sont accessibles avec un vélo grâce aux souterrains et les accès aux quais en pente douce. À la sortie de la gare, les bandes cyclables et la zone à trafic limité nous permettent de suivre un parcours plutôt sécurisé pour rejoindre le Canal.

Si vous arrivez par la Vilaine via la Traversée Bretonne (et donc la V42), il suffit de poursuivre tout droit pour rejoindre le canal. Mais ce serait dommage de ne pas profiter de Rennes avant de partir… 

Entre ses maisons à colombages, son vieux centre, le parc du Thabor et le Parlement de Bretagne, la capitale bretonne mérite bien une halte. Ville de culture et de musique, elle vibre chaque hiver au rythme des Transmusicales, festival de musique qui anime toutes les rues de la ville. Pour les familles, le Grand Huit, à deux pas de la gare, offre un espace ludique où petits et grands passent un moment réjouissant. Léa en garde un souvenir fort !

Dès la sortie de Rennes, le ton est donné : le canal s’étire paisiblement, bordé d’arbres et de maisons éclusières fleuries. L’ambiance devient vite bucolique. Les hérons s’envolent à votre approche, les reflets de l’eau accompagnent le pédalage et le stress de la ville s’efface peu à peu. Le chemin de halage est en stabilisé ; agréable la plupart du temps, il peut devenir un peu “mou” sous l’effet de la pluie, rendant la déambulation plus lente. Mais après tout, ce n’est pas une course ! On roule tranquille, le long de ce ruban vert ponctué de guinguettes et de petits ponts charmants.

À Saint-Germain-sur-Ille, l’itinéraire se pare d’une touche artistique avec le parcours Les Arts au Fil de l’Eau. Sur une douzaine de kilomètres, des œuvres et photographies viennent animer les abords du canal. On croise “Floraison”, une peinture joyeuse de l’artiste japonaise Makiko Furuichi à l’écluse de Chanclin, ou encore “Le Cube” à celle de Ville-Morin.

La fin d’étape est splendide. Avant d’atteindre Hédé-Bazouges, le chemin prend un peu de hauteur et offre un panorama sauvage sur la vallée. Puis apparaissent les fameuses onze écluses du canal d’Ille-et-Rance : un véritable escalier d’eau construit pour compenser 27 mètres de dénivelé. Ce site emblématique est un lieu apaisant. La Maison du Canal, installée dans une ancienne maison éclusière, retrace l’histoire de cet ouvrage et de la vie des éclusiers.

La journée s’achève sur une note magique : une nuit à bord d’une pénichette amarrée sur le canal. Léa, ravie d’embarquer “comme les mariniers”, s’endort bercée par le clapotis de l’eau. Un souvenir inoubliable pour conclure cette première étape de la Traversée Bretonne.

♥ Bonnes adresses à Hédé-Bazouges

  • Avec sa guinguette et ses hébergements insolites, Ille Flottante est une adresse à ne pas manquer. Directement sur l’itinéraire de la V42, sur le site des 11 écluses, c’est un véritable havre de paix pour une nuit toute douce.

Étape 2 : Hédé-Bazouges – Pleurtuit, 55 km

Comme je vous le disais en introduction, j’avais déjà roulé sur cet itinéraire en octobre 2024, le long du canal d’Ille-et-Rance. Et c’est une excellente chose ! Car cette étape de la Traversée Bretonne mériterait presque d’être scindée en deux tant il y a de belles découvertes à faire en chemin. À commencer par Dinan, une cité médiévale perchée et pleine de charme qui mérite largement le détour.

Depuis Hédé-Bazouges, les paysages s’ouvrent doucement avant de retrouver le fil bucolique et apaisant du canal, entre bois, prairies et écluses fleuries. Les villages se succèdent, simples et accueillants, avec leurs maisons de pierre et, parfois, une guinguette encore endormie hors saison. Le rythme est tranquille, propice à la flânerie, à la contemplation du reflet des arbres dans l’eau.

Entre juin et octobre, le parcours L’Art Dérive vient animer la déambulation sur près de 4 km entre Hédé-Bazouges et Trévérien : une quarantaine d’œuvres contemporaines, installées à ciel ouvert, se fondent dans le paysage. Une belle façon d’allier balade et culture, en découvrant le canal sous un angle artistique.

Evran marque une halte idéale. L’ambiance y est paisible : une aire de jeux, un food truck de burgers savoureux, quelques bancs face à l’eau… et surtout une aire de bivouac gratuite, avec douches et sanitaires, mise à disposition par la commune pour les cyclistes et randonneurs (source : mairie-evran.fr). De quoi prolonger la pause ou même y passer la nuit, le temps d’un coucher de soleil sur le port.

Plus loin, les paysages deviennent plus encaissés, annonçant l’approche de Dinan. Mais avant cela, ne manquez pas le Village de Caractère de Léhon, lové dans un méandre de la Rance. On y découvre une ancienne abbaye bénédictine, une forteresse médiévale dominant la vallée et des ruelles pleines de charme. De notre côté, on s’y est offert une pause bien méritée au café gloutons, une adresse simple et adorable où Léa s’est amusée avec les cailloux et les seaux prêtés par le café !

À quelques coups de pédale de là, Dinan s’offre dans toute sa splendeur : le vieux pont, les maisons à pans de bois, le port animé et la fameuse rue du Jerzual, si raide qu’elle en devient mythique ! Cette fois, le timing ne nous a pas permis de nous y attarder, mais j’y suis revenue à plusieurs reprises : impossible de se lasser de ses ruelles médiévales, de ses remparts ou de ses points de vue sur la Rance. Dinan est de ces villes qui se découvrent plutôt à pied et où l’on apprécie flâner au gré de ses ruelles pavées.

Au-delà de Dinan, le canal d’Ille-et-Rance s’élargit : on sent déjà l’influence de l’estuaire et la proximité de la mer. En continuant vers Taden, le manoir de Taden attire l’œil, superbe demeure du XVe siècle classée Monument historique. La suite de l’étape se fait sur une portion un peu moins agréable, en voie partagée, avant de retrouver une ancienne voie ferrée reconvertie en voie verte qui grimpe doucement mais sûrement.

Et c’est là que les jambes se souviennent du poids de la remorque ! Ce long faux-plat, qui paraît si anodin, devient une montée sans fin. Pour casser la monotonie, il est possible de faire une halte au Cimetière des Druides, un site mégalithique fascinant composé de 65 menhirs alignés, à Pleslin-Trivagou, à seulement 500m de la voie verte. 

La Bretagne est parfois curieuse. J’ai noté que la pluie avait dû être de la partie à la fin du parcours car les routes étaient mouillées ! À Cabanes Boem, c’est tout de suite la question qui m’a été posée : est-ce que la journée n’a pas été trop compliquée avec la pluie ? Il semblerait qu’à Pleurtuit, il y ait eu des averses régulières durant la journée alors qu’à Dinan, il y avait une météo ensoleillée !

Bonne adresse à Pleurtuit

  • À Pleurtuit, planté au coeur d’un quartier résidentiel, un espace boisé unique fait un pied de nez à l’urbanisation environnante. Une fois à l’intérieur de cabanes boem, on semble transportés. Paisibles et confortables, les lieux sont tournés vers l’écologie, l’harmonie et le respect de la nature.
Cabanes Boem - Pleurtuit - La Traversée Bretonne

Étape 3 : Pleurtuit – Le-Vivier-sur-Mer, 40 km (50 km via Cancale)

Au départ de Pleurtuit, il ne faut que quelques coups de pédale pour rejoindre Dinard et ses sublimes villas Belle Époque. Difficile d’imaginer qu’au XIXe siècle, cette élégante station balnéaire n’était encore qu’un petit port de pêche ! C’est avec la mode du bain de mer et l’arrivée du tourisme britannique que Dinard est devenue la coqueluche des villégiateurs fortunés. On y voit encore aujourd’hui de splendides demeures surplomber la mer, des casinos, des hôtels et même un golf qui rappellent cette époque dorée.

L’entrée dans la ville, en revanche, ne se fait pas sans quelques péripéties. La signalisation m’a joué des tours et, les deux années de suite, je me suis retrouvée au beau milieu de la circulation. Cette fois, c’était un samedi… et après trois dépassements de SUV plus que limites, j’ai opté pour la sécurité : marche à pied sur la Promenade du Clair de Lune, même si les vélos y sont interdits. Entre une amende hypothétique et le risque de voir Léa frôlée par une voiture, le choix était vite fait ! Si vous arrivez à Dinard à vélo, un conseil : suivez la voie verte jusqu’au bout.

Depuis le port, il est possible de traverser la Rance en bateau pour rejoindre Saint-Malo. Dix petites minutes de traversée, mais quel panorama ! On découvre la cité corsaire sous un angle splendide, avec ses remparts dressés face à la mer.

À peine débarquées à Saint-Malo, la pluie s’est invitée pour deux longues heures. Il a fallu se résoudre à repartir. Léa commençait à s’impatienter, en voyage, elle ne dort que si je roule ! La visite de Saint-Malo sera pour une prochaine fois. Pourtant, cette ville est fascinante : son château, ses remparts, son Histoire, ses ruelles pavées et ses forts imaginés par Vauban forment un patrimoine maritime unique. 

La sortie de la ville se fait en douceur par La Vélomaritime. On évolue le long d’une belle promenade, même si le trafic (notamment de camping-cars) reste dense sur certaines portions. Le paysage, lui, est un régal : petites criques, plages dorées, et ce parfum d’iode qui donne envie de traîner un peu. On quitte peu à peu le littoral urbain pour retrouver les terres cultivées, avant de choisir entre un détour à Cancale (+10km) et continuer sur la Vélomaritime.

Cancale, c’est le temple de l’huître, dont l’élevage est classé au Patrimoine Culturel Immatériel de la France depuis 2019. Le port de la Houle est charmant et la vue sur la baie du Mont-Saint-Michel y est superbe. Seulement, par rapport à l’heure qu’il est et la météo, je dois passer Cancale cette fois pour continuer ma route !

Nous avons donc filé un peu plus loin, le long de la baie, avec quelques aperçus du Mont, encore minuscule à l’horizon ! Sur cette portion, la Vélomaritime serpente entre mer et prés salés. Les cabanes de dégustation de fruits de mer s’alignent au bord de la route, parfaites pour une pause iodée sans détour (et goûter les fameuses huîtres de Cancale si vous avez manqué la ville). Les immenses plages regorgent quant à elles de coquillages : un terrain de jeu idéal pour les enfants !

La pluie, décidément fidèle au poste, a rendu les derniers kilomètres plus sportifs que prévu : chemins inondés, flaques à contourner et quelques détours improvisés ont rythmé la fin de journée avant d’atteindre Le Vivier-sur-Mer.

♥ Bonnes adresses au vivier-sur-mer

  • Chambre d’hôtes Parenthèse : une excellente adresse pour profiter d’une soirée cocooning calme dans une ambiance familiale. Les hôtes sont vraiment aux petits soins !
  • Dîner moules – frites à La Dégustation Tonneau, en direct du producteur : une excellente adresse. Moi qui ne suis pas fan des moules, j’ai dégusté mon plat en me demandant si je devais en reprendre un second. Léa a souhaité goûter. Elle l’avait déjà fait dans l’été et n’avait pas aimé. Mais alors là… elle aussi s’est régalée !!

Étape 4 : Du Vivier-sur-Mer au Mont-Saint-Michel, 30 km

On se réveille doucement au Vivier-sur-Mer, bercées par l’odeur du petit déjeuner qui flotte dans la maison d’hôtes. L’étape du jour n’est pas bien longue, une trentaine de kilomètres seulement, mais elle a ce goût de fin de voyage : un mélange de fierté, de fatigue et d’impatience d’apercevoir le Mont-Saint-Michel. On traîne un peu, le temps que la pluie cesse et parce qu’on est bien ici. Léa s’amuse avec une autre petite fille de son âge, nées à quelques jours près. Leurs rires résonnent dans la maison pendant qu’on boucle tranquillement les sacoches.

Dès les premiers coups de pédale, le paysage s’ouvre. Quelques moulins à vent ponctuent la route, rappelant que la baie est depuis longtemps une terre de travail et d’ingéniosité. Puis la chapelle Sainte-Anne-de-la-Grève apparaît, marquant le départ de la digue de la Duchesse Anne. Construite à partir du XIe siècle pour contenir la mer et permettre la création de polders, elle a offert aux habitants quelque 12 000 hectares de terres agricoles gagnées sur l’océan. Aujourd’hui, c’est une magnifique voie verte, parfaitement adaptée aux cyclistes, qui file droit vers le Mont.

La silhouette du Mont-Saint-Michel se dévoile peu à peu, joueuse, entre deux rangées d’arbres. Par moments, on la devine seulement, comme un mirage qui se rapproche à chaque virage. Et puis soudain, elle est là, posée dans la baie, majestueuse. C’est toujours un moment fort, presque irréel.

L’arrivée jusqu’à l’abbaye est un peu sportive avec un vélo et une remorque, mais quelle récompense ! Si vous voyagez avec un tout-petit, le porte-bébé est ensuite votre meilleur allié. Dans mon cas, Léa n’a jamais aimé ni l’écharpe ni le porte-bébé… alors c’est dans les bras, marche après marche, que j’ai gravi le mont jusqu’à l’abbaye !

Même après plusieurs visites, la magie opère toujours. Les ruelles pavées, les maisons médiévales, les remparts et cette vue plongeante sur la baie donnent le sentiment d’être hors du temps. Le Mont-Saint-Michel n’a rien perdu de son aura, ce n’est pas pour rien qu’il est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1979.

Le retour vers Pontorson se fait tranquillement, un dernier tronçon pour rejoindre la gare. Pas de réservation vélo possible sur mon train, mais hors saison, tout s’est bien passé. Un couple de cyclistes m’a même aidée à hisser le vélo et la remorque dans le wagon. Une belle manière de clore cette Traversée Bretonne, sous le signe de la solidarité entre voyageurs à vélo.

♥ Bonnes adresses Au Mont-Saint-Michel

  • L’Hôtel Vert : chambres petites mais confortables, parfaites pour une nuit avant ou après la visite du Mont. Bon rapport qualité-prix.

La Traversée Bretonne de Rennes au Mont-Saint-Michel : infos pratiques

Pour quel vélo opter pour rouler de Rennes au Mont-Saint-Michel ?

La Traversée Bretonne de Rennes au Mont-Saint-Michel évolue en grande majorité sur des chemins de halage et voies vertes en stabilisé (chemin de terre). C’est pourquoi, je recommande de prendre un VTC / gravel / Vélo de voyage avec des pneus un peu plus larges que sur les vélos de route.

Où louer un vélo ?

Je recommande vivement les services de l’agence Abicyclette Voyages. Pour la première partie du voyage entre Nantes et Rennes, le vélo de ma mère a été livré à Redon en excellent état et parfaitement équipé. Pour un voyage, les vélos à assistance électrique qui ont été choisis par Abicyclette Voyages tiennent bien la route !

Gros plus : ma mère fait 1m50. C’est bien la seule agence de location que je connaisse qui propose de VRAIS vélos – et non des vélos enfants – pour les personnes qui font moins d’1m60 !

Quelles difficultés sur La Traversée Bretonne de Rennes Au mont-Saint-Michel ?

La Traversée Bretonne entre Rennes et le Mont-Saint-Michel est facile. On rencontre à peine une ou deux montées sur tout le parcours !

Le point qui m’a posé problème, c’est la météo. Si j’ai réussi à obtenir de jolis clichés entre les gouttes, j’ai quand même eu énormément de pluie les derniers jours. Ces perturbations ont ramolli les chemins de halage, ce qui fait que j’avais la sensation de ne pas avancer avec la remorque. Une portion de l’itinéraire, côté Vélomaritime, était quant à elle inondée.

Rejoindre l’itinéraire en train

La gare de Rennes est très accessible en train avec un vélo. Le seul point qu’il faut bien anticiper, ce sont les places vélo. Dans le TER, elles doivent être réservées en saison estivale. Et il vaut mieux s’y prendre à l’avance !

À savoir, à Rennes, toutes les voies sont accessibles avec le vélo, mais il faut passer par le souterrain. Il faut connaître l’astuce.

Si vous ne trouvez pas de train avec une place vélo, pensez à démonter ou à louer un vélo sur place !

Pour le retour, on peut passer par Pontorson (mais attention aux places vélo limitées sans réservation, ça peut être la bataille) ou par Dol-de-Bretagne. Il y a plus de kilomètres pour rejoindre la ville, mais il y a aussi plus de trains. En plus, c’est une très jolie ville !

La Traversée Bretonne de Rennes au Mont-Saint-Michel, un itinéraire familial ?

Absolument ! Le Canal d’Ille-et-Rance est particulièrement adapté et ce n’est pas pour rien que c’est la seconde fois que l’on y vient avec Léa.

Le seul point que j’ai trouvé compliqué et stressant, ça a été la traversée de Dinard avec la remorque, un samedi matin. J’ai vraiment eu quelques sueurs froides, me suis perdue… En faisant exactement la même erreur que l’année précédente (j’ai suivi le panneau qui indiquait « bateau Saint-Malo » sur la voie verte).

À noter pour les familles : comme pour la première partie de la Traversée Bretonne, je trouve que j’ai été trop ambitieuse sur la longueur des étapes. Des étapes plus courtes auraient été bienvenues. L’année précédente, j’avais notamment fait escale à Hédé-Bazouges, Dinan et Saint-Malo, je trouve que c’était beaucoup plus confortable avec la puce. On avait un peu plus de temps, alors nous avions même fait un détour par Combourg !

Le saviez-vous ? Vous pouvez aussi retrouver ce parcours sur mon guide La Bretagne à vélo entre terre et mer.

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Ce reportage a été réalisé en partenariat avec La Traversée Bretonne et ses partenaires. Je reste libre de mon contenu et ai rédigé cet article de manière indépendante en relatant l’expérience telle que je l’ai vécue. 

Mila - rédactrice Un Monde à Vélo

À propos de l’autrice

Mila

En 2017, à l’occasion de son premier tour d’Europe à vélo, Mila commence à partager ses expériences de baroudeuse. Passionnée de photographie et engagée, elle lance le média Un Monde à Vélo. Son objectif : rassurer dans un discours ambiant du dépassement de soi et rendre la thématique du cyclotourisme accessible à tous et surtout à toutes. 

1 Commentaire
  1. Amandine

    Super récit ! J’ai fait ce trajet l’été dernier avec ma fille, et les onze écluses à Hédé nous ont vraiment impressionnées. Une belle aventure à vivre en famille, entre nature et patrimoine.

    Réponse

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